2013-03-01 Istanbul, la ville, la pollution, le stress, tout ce qu’on avait oublié revient tout à coup comme un mauvais rêve

Arkan nous salut et va retrouver sa femme, Olivier nous quitte également car il prend l’avion demain matin pour la France. François, Domi et moi, rassemblons nos affaires et prenons un taxi pour nous rendre à Calicum, il y a beaucoup de circulation, des coups de klaxons, la pollution, les gens stressés.  J’avais presque oublié comment c’était sur terre.

Nous prenons le ferry pour traverser le Bosphore et nous rendre sur l’autre rive à Emineuneu, nous avons pu payer en euros.  Le ferry est d’une ancienne époque, avec des bancs en bois, de petits rideaux blancs à froufrous, tous les passagers, des turcs, sont assis,  un monsieur passe avec un chariot pour nous proposer du thé, café et gâteaux.

A Emineuneu nous grippons dans un taxi qui prend également les euros et nous dépose vers 19h. dans un petit hôtel où nous déposons nos valises, prenons une bonne douche. 

Nous voici enfin arrivés à l'Hôtel Orient, Bonne nuit  -  Iguégéla

 Il ne fait pas chaud, 

De petites rues bordées de cafés et terrasses chauffées et  illuminées  par de petite lampes orientales de toutes les couleurs,  les gens fumant des chichas et buvant le thé sur les terrasses.

Devant chaque entrées des restaurants,  lorsque nous approchons de la carte un turc arrive et nous invite à venir manger dans sont restaurant qui est le meilleur, délicieux et pas cher.

Nous nous installons dans un grand café, il y a des canapés, de petite tables basses et de toutes petites chaises en paille, (on se croirait dans la maison des 3 ours avec bébé ours). il y a un orchestre turc et un danseur habillé d’une grande jupe large qui tourne durant environ une heure, toujours dans le même sens et dans la même position (il me donne le tournique). Nous prenons un kebab sur assiette et un thé car il n’y a pas d’alcool, par contre, ils servent des chichas et du thé à des hommes qui jouent au back gammon le serveur ramène une tournée de braises chaudes pour les chichas. 

Et voici la fameuse mosquée bleue, en réalité, elle est grise, à 5h nous sommes réveillés par le chant de l’appel à la prière musulmane qui émane de la mosquée.

François nous quitte, il prend son avion pour Lyon. Domi et moi resterons encore 4 jours à Istanbul pour visiter cette jolie ville

  les hommes fument la chichas,boivent le thé, jouent au backgammon et tournée de braises. boive

pour 70 TurcLiras=35 euros, tour de ville avec le bus touristique à deux étages.

 Dans le bus nous sommes en haut mais il fait froid, gants et bonnets sont de mise.

 Tour de monuments, il y a même une horloge fleurie. on se croirait à Genève

Muhm.... les kunéfés, lucums, baklaba...un peu gras mais délicieux

 Muhmmm....les kebab turcs, ils sont délicieux, il y en a à chaque coin de rue.

 Vente de marrons chauds dans les rues piétonnes.

 Dans cette ville, il y a des ruines, de vieilles maisons et des immeubles neufs, un doux mélange et de style.

 Sur les quais les hommes ont installés leur stand de tirs aux ballons.

  Istanbul depuis les quais.

  Les étalages de poissons frais sur les marchés sont sublimes.

 Balade le soir à la recherche d'un restaurant, Istanbul by night

 Tram touristiques pour sillonner les rues piétonnes.

 Cassolette de Grondin, délicieux mais très cher 235 TurkishLiras = 117 euros

 Dommage que nous soyons à l'hôtel sinon j'aurais dévalisé le stand.

 La ville est pleine de petites boutiques  de style oriental.

 Les souks, c'est trop joli ces lampes orientales.

 Le thé est servi sur de petites tables, les tabourets sont si bas que les genoux sont plus haut que la table, on se croirait dans la maison des 3 ours avec petit ours.

 Le marché, les fruits et légumes sont magnifiques.

 Un petit jus de grenade tout frais pour ce remettre en route dans les souks.

 Le marché aux épices, ses couleurs et ses odeurs envoutantes.

  Sarah serait heureuse, elle qui adore le maïs, il est cuit dans les rues.

 Le pont de Galata, il est très spécial, dessus le pont, les pêcheurs..

 Pêcheurs à l'oeuvre sur le pont.

  Dessous le pont, les restaurants...

 Directement du producteur au consommateur.

 Rive gauche du Bosphore, nous montons au sommet de la tour.....

 La rue des outils, c'est une grande route ou il y a que des outils et plus loin il y a la rue des élec

  Il y a même une migros à Istanbul, nous ne sommes vraiment pas dépaysés

 Depuis le haut de la tour....

Vue magnifique sur les rues et les toits d'Istanbul 

* * * * *

C'est quand qu'on arrive...

 Nous partons à pieds jusqu'au pont qui traverse le Bosphore qui sépare l'orient de l'occident

 

 Après avoir bien mangé, séance de gym en plein air.

 Place Emineuneu et moutfak

 Chantier naval, les grues sont immenses par rapport aux maisons.

  Les livreurs de thé,  il est en vente dans les rues sur des chariots ou sur des plateaux.

  Il y a des travaux dans presque toutes les rues, on se croirait à Genève et son gruyère.

Je me rappelle lorsque maman et la marraine sont parties à Istanbul pour le travail, elles nous ont rapportés des babouches, des petits bibelots orientaux, maman nous a parlé de la belle mosquée bleue, du Bosphore, je devais avoir une dizaine d’années mais c’est un peu comme si j’y étais.

La fin d'un beau voyage et retour à Bormes pour retrouver notre Levant.