2012-04-25 Aujourd'hui c'est l'anniversaire de notre petite Anouck et de Antonin.

  Lever de soleil sur notre belle méditérannée, Aujourd'hui c'est l'anniversaire de notre petite Anouck et de Antonin.

  Les petits bateaux, "Hobby 4" de toutes les couleurs naviguent autour de notre Catamaran.

  Ils font des willings et on dirait qu'ils dansent dans les vagues pour souhaiter un joyeux anniversaire à Anouck et à Antonin.

 Nous sommes au mouillage dans 2 mètres de fond. On peut voir le sable sous notre bateau où les petits poissons viennent souhaiter également un joyeux anniversaire à Anouck et à Antonin.

Joyeux anniversaire...Anouck et Antonin, nous vous souhaitons beaucoup de bonheur dans vos jolies familles et surtout n'oubliez pas que la famille est un bien précieux.

2012-04-16 Barbecue pour les poissons mais attention aux poissons ok

Cette nuit nous la passerons au port car un gros coup de vent est annoncé et Domi  en profite pour nous installer un super barbecue tout inox sur le bateau. Nous pourrons faire le poisson au grill,  comme ça il y aura pas d’odeur de poisson à l’intérieur.

A peine avons nous quitté le port que notre pêcheur met déjà ses cannes à l'eau.  En voulant ôter l'hameçon d'un poisson qui avait mordu à la ligne,  il s’est fait piquer la main par sa proie, une vive. Sa nageoire dorsale qui est sa défense a injecté son venin à l'intérieur de la main de Domi.  Ca a saigné abondamment, sa main est devenue toute gonflée. Vite nous avons regardé sur internet comment soigner : il faut  tremper la main dans de l’eau chaude 50° pendant 30 minutes afin de retirer le venin, ensuite, désinfecter comme une plaie normale. Ce genre de piqure peut provoquer une allergie et même la mort. Mais notre pêcheur survivra à sa douloureuse blessure qui aura duré une bonne semaine.  Parait-il que l'on peut également soigner cette blessure en frottant avec du sable chaud ou un faisant pipi dessus. 

Nous allons quand même faire de beaux sars au grill, qui eux sont inoffensifs.

Je sens qu’on va se régaler et ensuite gros dodo bercé par les vagues.

Après nos navigations quotidiennes nous aimons bien prendre  un thé citron et goûter sur notre « terrasse ».  Aujourd’hui c’est tarte aux citrons maison.  Ensuite nous faisons un jeu, scrabble ou autre.  Elle n’est pas belle la vie de retraités.

Encore un coucher de soleil....si vous en avez marre des couchers de soleil, pas nous.

2012-04-15 Au mouillage lorsqu'il y a beaucoup de vent, attention !!! les bateaux peuvent chasser ok

Christian, notre copain de Bormes m’a offert une superbe orchidée pour mon anniversaire. Moi aussi j’ai des fleurs à bord, comme les stars sur leurs yachts.   Je n’ai rien à leur envier, je suis juste heureuse.

Nous sommes au mouillage de la Courtade, île de Porquerolles. Lorsque nous sommes arrivés, Il y avait déjà un catamaran. Nous avons jeté l'ancre assez loin  de lui car cette nuit la météo marine nous annonce un coup de vent.  Nous avons donc bien tiré sur l'ancre en faisant une marche arrière afin qu'elle soit bien enfoncée dans le sable. En fin de journée un autre catamaran  arrive et jette l'ancre sur ce beau fond sableux.  Vers 2h. du matin, le vent se lève 27 nœuds, 45km/h. Je regarde par le hublot, voir si tout va bien et un catamaran est en train de dériver sur nous. Ils ont allumés leur lumière de pont et sont en train d’essayer de manœuvrer. J’allume notre lumière de  pont pour bien leur signaler où nous sommes. Ils s’approchent grave de notre cata, je sors sur le pont pour leur signaler où se trouve notre orin avec la lampe de poche et je pense mettre les parre-battages pour amortir le choc au cas où….mais pas le temps, ils passent sur notre orin et retourne près de la plage pour remouiller….Nous avons eu de la chance que leur hélice ne se soit pas prise dans le bout de notre orin…sinon…il aurait sûrement fallut plonger au milieu de la nuit pour couper le cordage…..bref, finalement tout s’est bien passé.
D'habitude dans cette ance, en plein été, il y a une centaine de bateau alors que  cette nuit d'avril nous sommes que 3 et avons trouvé le moyen d'être les uns à côté des autres.

Un joli 2 mâts allemand vient jeter l'ancre à côté de nous.  Quelque instant plus tard, je guigne et m’aperçois qu’il est en train de déraper. Il dérive sur le port de Porquerolles, ils sont tous à l’intérieur, je me sens impuissante car je ne peux pas les appeler… alors je vais vite chercher la corne de brume pour les avertir.  Oufff... je vois un homme monter sur le pont, tant mieux, il était temps, il relève sont ancre et recommence sont mouillage près de la plage à  côté des 2 catamarans.

Dominique est resté tranquille sur son canapé,  je crois même qu’il n’a pas remarqué les bateaux qui chassaient.

Nous, nous n’avons pas bougé, avec notre chaine de 70 mètres et notre ancre Spade dans 3 mètres d’eau. Je pense que nous ne risquons rien mais il faut être vigilant et regarder de temps en temps ses amers afin d’être sûr que le bateau ne dérape pas. 

Comme d'hab, super coucher de soleil, on ne peut s'en lasser.

Et dodo bercé par le roulis des vagues et le ronron du vent.

2012-04-03 Stage intensif de voile, notre première traversée, Continent-Corse.

eENous avons décidés avec Philippe et Marlène de prendre 2 skippers et faire notre première traversée en Corse avec les deux catamarans.

Nous avons fait l’approvisionnement de nourriture, achat d’harnais supplémentaires, longes, lampes frontales, cartes marines de la Corse, appâts pour la pêche au gros et rendez-vous au Gapeau pour le grand départ.

1^er jour, rencontre avec notre skipper, François, 45 ans, grand, mince, lunettes de professeur, il n’a pas du tout le look du navigateur. Philippe et Marlène ont Jérôme, 40 ans, costaud, cheveux longs et frisés en queue de cheval, le look parfait du navigateur.

François prend possession de sa cabine et salle de bains, il dépose ses affaires, et à peine remonté, il faut sortir les cartes, la règle cras, nous voilà au travail pour tracer notre route du Gapeau en Corse, Girolata.  C’est assez facile car dès que nous passons les îles d’Hyères, il nous suffi de prendre le cap 110° et voilà.

Nous écoutons la météo qui annonce un vent d’Est Force 2-3, ce n’est pas assez pour hisser les voiles, nous serons donc obligés de partir au moteur. Après un briefing tous ensemble, nous décidons de partir vers 18h00. Nous mettrons la VHF en double veille, c’est-à-dire, canal 16 obligatoire et canal 72 de travail sur lequel nous communiquerons entre nous. Nous nous souhaitons une bonne nav et départ.

Nous traversons la baie des Iles d'Or en direction de la passe.

Nous passons entre l’île du Levant et l’île de PortCros où nous avons encore nos repères. 


Après le passage des îles,  il commence à faire nuit, il faut faire attention aux cargos, nous surveillons attentivement leurs lumières (rouge bâbord, vert tribord et blanc arrière).  Il y a une phrase mnémotechnique qui dit « rouge sur rouge rien ne  bouge, vert sur vert rien à faire » par contre, si nous voyons un rouge sur notre vert ou un vert sur notre rouge, il faut bien surveiller et se parer à virer au cas où (étant donné que nous sommes aux moteurs pas de soucis pour virer).

Nous mangeons avant la nuit complète tout en surveillant les cargos et organisons nos quarts de nuit.  Nous décidons Dominique et moi de faire le quart ensemble donc nous ferons le premier quart de 22h à 2h. et nous réveillerons François pour le quart de 2h à 5h.

Nous faisons un point GPS avec le relèvement du phare de Porquerolles et celui du Levant. Nous voici à 42°54’23 ‘’N  - 6°35’54’’ E que nous reportons sur la carte marine. Après quelques miles, nous ne voyons plus les phares de la côte alors nous faisons notre estimation GPS avec la VHF que nous notons sur la carte. Nous suivons le feu blanc de Maya qui est devant nous, nous les appelons sur le canal 72 si tout va bien et leur souhaitons bonne nuit.

François est allé se coucher, nous devons le réveiller si la lumière d’un bateau approche ou si il y a quoi que ce soit. C’est la nuit, quelques nuages cache la lune de temps en temps, la mer est calme et plate, on dirait un lac. 360° que de l’eau, Domi et moi sommes à la barre, nous nous préparons un thermos de thé citron, du café, du cake, et avançons à 5,5 nœuds cap 110°. Nous suivons toujours le feu blanc de Maya qui s’éloigne gentiment car nous avons 2 moteurs de 29 chevaux et Maya 2 de 40 chevaux. 

Toutes les heures, Domi et moi faisons notre estimation et relevons notre position GPS sur la carte, nous progressons en direction de la Corse, c’est génial.

Dans la nuit, nous apercevons sur Maya des faisceaux de lampe de poche, nous nous emparons de notre lampe pour répondre à ses signaux lumineux;  nous les appelons sur le canal 72, Philippe est à la barre, il fait son quart de nuit tandis que  Marlène et Jérôme dorment. Il essaye de pêcher mais hélas ça ne mord pas.

De notre côté, notre professeur nous a dit que durant la traversée, il faut mettre les gilets. Si nous allons à l’avant du bateau, il faut mettre la longe et bien sûr, nous ne pouvons pas pêcher de nuit car ça peut être dangereux, si un gros poisson mord et qu’ il faut manœuvrer.

Nous sommes vraiment déçus qu’il n’y ait pas de vent et que nous ne pouvons pas hisser les voiles. 

Vers 3h du matin, nous perdons de vue Maya qui a de l’avance sur nous.

A 4h du mat, RAS, de l’eau que de l’eau plate sans vague, une mer d’huile sur 360°. C’est incroyable que toute cette quantité d’eau des 100 000 000 000  000 de tonnes d’eau qui ne bouge pas.  Il n’y  a même  pas de bateau à l’horizon. Nous réveillons François afin qu’il fasse son quart de nuit.

Nous nous enfilons sous la couette avec le ronronnement du moteur et vers 7h nous sortons de notre cabine.  François est à la barre RAS. Nous préparons un bon petit-déjeuner vitaminé. Nous essayons d’appeler Maya mais sans réponse, nous devons être trop éloignés, la VHF porte à 20 miles nautiques seulement. 

Nous naviguons toute la journée et apercevons des ailerons, est-ce des dauphins ou des requins ?  un poisson lune passe à côté de notre bateau, il fait la bronzette.  Domi a vu une tortue qui a plongé aussitôt. Un petit oiseau est venu se réfugier sur notre bateau, il parait que ces petits oiseaux au large ne sont pas peureux, ils viennent sur notre épaule, il ne faut surtout pas les laisser entrer dans le bateau car ils font leurs besoins et à nous les nettoyages. Domi a mis ses cannes à pêche en espérons que ce soir nous aurons du poisson pour notre repas. Un gros nuage arrive, un grain s’annonce,  1 heure de pluie tombe sur le bateau et nous rince.

Vers 15h, Terre….Terre….. nous apercevons enfin les sommets des montagnes de la Corse. C’est magnifique.  Nous arrivons à 19h dans la baie de Girolata où Maya est déjà au mouillage.  Ils sont arrivés à 16h.  La traversée aura duré 25 heures et tout au moteur hélas.

Il pleut, une pluie fine. Nous prenons l’annexe pour aller faire notre débriefing sur Maya.

Nous échangeons nos impressions, routes, relevés GPS, mer, cargos, animaux, etc…Nous rentrons sur notre bateau  « Levant », repas et dodo, nous sommes crevés.

Debout à 8h. Un bon petit-déjeuner et François nous fait préparer notre route pour nous rendre à Calvi. Ne pas oublier le sondeur, la déviation magnétique, la dérive, les amers, alignement etc….C’est vraiment très intéressant et François prend son boulot de professeur au sérieux, il veut être sûr que nous ayons bien compris. Alors répétition et ne pas oublier de faire le tableau des calculs.

Départ vers la réserve de Scandola. C’est magique, ces rochers rouges et à pic, ces petites grottes à fleur d’eau où l’été on doit pouvoir s’amuser à les explorer en snorkling. Nous  suivons Maya qui passe entre 2 rochers, la passe est d’environ 50 mètres, c’est impressionnant.

Nous hissons enfin nos voiles, mettons le code 0 (cette voile que nous avions du mal à maitriser) maintenant nous aimons bien la hisser car elle nous fait gagner 1 à 2 nœuds et lorsqu’il y a très peu de vent, nous avançons bien.  Nous faisons quelques empannages et manœuvres. Nous pratiquons l’exercice de l’homme à la mer (que Martine adore) en lofant face au vent et vite on affale les voiles afin de virer et viser l’homme à la mer que nous repêchons sous le vent, exercice réussi.

                                              Maya ne nous lache pas.

Le vieux Calvi sur son rocher et au loin les sommets montagneux .

Maya au mouillage dans la baie de Calvi.

Nous arrivons en fin de journée à Calvi.  On peut apercevoir au loin,  la neige sur les montagnes.  Nous jetons l’ancre dans la baie,  juste en face du port. Domi et moi prenons l’annexe pour visiter  Calvi car il faut quand même rendre l’utile à l’agréable. Nous rencontrons Philippe et Marlène sur le port et nous nous installons sur une terrasse de bistrot. Nous échangeons nos impressions sur cette super semaine de navigation qui n’est pas encore finie. Eux aussi on pratiqué les manœuvres de l’homme à la mer, au moteur et à la voile.  C’est la manœuvre la plus délicate  qu’il faut pratiquer régulièrement car lorsque  la situation réelle nous oblige à faire cette manœuvre, nous n’avons pas le droit à l’erreur.

Briefing et apéro sur Maya.  Nous décidons de faire la traversée, Corse-continent demain matin car la météo annonce un vent Sud-Ouest force 3-4 à 4-5. C’est parfait pour la traversée que nous allons pouvoir faire à la voile.

Le lendemain matin, 7h. debout, petit-déjeuner, préparation de notre route et nous levons l’ancre pour la nav de retour. Nous avons un petit vent qui se lève et en profitons pour hisser les voiles. Après quelques miles, le vent fraichi, donc nous prenons un ris (réduction de la surface de la GV).  Nous avançons à 6,5 nœuds. Les dauphins nous accompagnent et jouent entre les étraves du bateau, nous les filmons, c’est juste magique. Maya nous appelle sur la VHF, il y a une baleine sur leur tribord, nous sommes juste derrière eux, nous guettons la baleine mais hélas nous ne la verrons pas.

Le soleil se couche, nous préparons nos quart pour la nuit. François nous réitère ses instructions de sécurité et se retire dans sa cabine.

Pour les 4 heures, je prépare une bonne tarte aux citrons. 

 Les dauphins nous accompagnant et jouent entre les étraves du bateau.

Nous avançons rapidement en tenant le cap 280° direction le continent, Cap Taillat près du cap Camarat. La météo annonce un vent violent, force 6-7 à 8 au large, il faut que nous arrivions au mouillage avant le gros coup de vent.  Maya n’arrive pas garder le cap car il faut remonter au vent et chaque bateau est différent. Notre Levant remonte bien au vent, nous naviguons à 30° du vent. Maya prend un autre cap, nous voyons son feu rouge (côté babord) qui s’éloigne de plus en plus. Nous arrivons à 1h du matin au mouillage de la pointe de la Rondadelle.  Il y a déjà beaucoup de vent mais nous sommes bien à l’abri. Maya s’est retrouvé vers Cannes. Ils ont dû mettre les moteurs pour nous rejoindre au mouillage.

Notre traversée du retour aura duré 17 heures et tout à la voile.

7 heures du matin debout, le bateau a bougé toute la nuit, il y a beaucoup de vent et  la météo annonce un gros coup de vent sur la région. Nous décidons d’appeler un port pour nous mettre à l’abri pour la nuit prochaine. Difficile de trouver un port qui accueille 2 catamarans. Finalement après plusieurs appels, nous trouvons 2 places à Port Grimaud pour 51.— euros la nuit. Nous sommes bien amarrés et parés  pour le coup de vent. Ce soir nous nous faisons un restaurant  à Port Grimaud tous les six.  

Le lendemain, je me lève avant tout le monde (comme d’habitude), je pars chercher les croissants et pains au chocolat pour toute l’équipe.  Philippe est également réveillé, donc  nous partons tous les deux à la boulangerie qui est à 30 minutes à pieds. Nous papotons, c’est vraiment un gars sympa.

Le vent souffle toujours autant. Après le petit-déjeuner, nous allons à la capitainerie prendre  la météo.  Le vent continue à souffler Force 7-8 et n’est pas prêt de s’arrêter.  Nous ne pouvons pas partir.  François, notre professeur, nous fait travailler,  les feux dans les ports, les feux de danger, il nous propose de partir ce soir et de faire une nav de nuit avec uniquement les feux comme repère. Nous étudions encore les calculs de courant, nous en avons plein la tête Domi et moi.  De temps en temps, nous voyons un bateau qui rentre au port et galère pour s’amarrer. Nous allons voir et  lui donner un coup de main si c’est nécessaire, ce qui nous permet de faire une pause. Un remorqueur tracte un bateau avec sa voile déchirée, encore une pause.  Vers 18h. toujours autant de vent et ce sera surement impossible de sortir du port donc nous décidons de passer encore une nuit aux amarres. Je prépare des cuisses de poulet aux petits légumes au four et des pommes de terre sautées.  Nous nous retrouvons tous les six sur « Levant » devant un bon repas.

Philippe et Marlène ont moins à étudier car Jérôme est plutôt du genre pratique qu’études.

Port Grimaud et ses canaux.

Ce soir, Philippe est allé chercher des pizzas pour toute l’équipe que nous mangeons sur notre Levant. L’ambiance est excellente.

Le lendemain, c’est calme plat, plus de vent.  François me fait  préparer notre route (rôle de Capitaine) que je transmets à Domi (qui a le rôle du barreur).  Nous  quittons le port.  Le barreur doit suivre la route que lui a tracée le capitaine en faisant et signalant  les relevés au fur et à mesure que nous progressons. C’est vraiment super intéressant.

Un pro qui prépare bien sa navigation,  peut naviguer à travers les nombreux dangers que représente la côte.

Le soir « Maya » et « Levant » entrent au petit port du Gapeau.  Nous nous retrouvons tous les six sur « Maya » pour faire le débriefing. Nous sommes heureux de ce stage qui nous a appris énormément. François nous signe notre examen de Nav Niveau  2 que nous avons réussi avec succès. Il nous remercie pour l’accueil que nous lui avons fait sur le bateau, échangeons nos e-mail et il rentre à Lyon.

Nous sommes amarrés à côté du catamaran de Jacky ; nous l’appelons le maire du Gapeau car il sait tout ce qui se passe dans ce petit port où tout le monde se connait. Ce soir apéro sur « Levant » avec Jacky, sa femme et son frère.

Nous allons rester encore une ou deux nuits au Gapeau, ensuite nous repartirons à nos navigations à deux et mouillages dans les îles.  Nous sommes impatients de mettre en pratique ce que François nous a appris.

FIN